À l'initiative du claviériste algérien Kenzi Bourras, le deuxième album d'Acid Arab, bien que toujours basé sur la techno, prend une orientation musicale plus empreinte de raï[3].
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Après la réception très positive du premier album du groupe, Jdid devient nécessairement un deuxième disque attendu. Les Inrocks considèrent qu'il s'agit d'un album plus structuré que le précédent opus, basé sur des compositions tournées vers le dance-floor et le banger[3] ». Pour le webzine Benzine, cet album est « mariage réussi entre techno et raï » basé sur l'électronique classique occidentale et les instruments traditionnels arabes aboutissant à un « album hypnotique et terriblement accrocheur » fait pour la danse et les rave parties[4]. Radio Nova considère quant à elle qu'à l'image de la sonorité du titre, Jdid, l'album est « nouveau, frais, neuf »[5].