Son travail de recréer les premiers mammifères des époques Oligocène, Miocène et Pliocène est largement publié dans les années 1950 et 1960, notamment dans la série Time Life Books. Son travail fait partie des collections du Musée américain d'histoire naturelle et du Musée national d'histoire naturelle des États-Unis[2]. Ses reconstitutions paraissent fréquemment dans des magazines tels que le National Geographic et le Time, ce qui fait de lui l'un des illustrateurs scientifiques les plus connus[3]. Matternes réalise six peintures murales pour la Smithsonian Institution entre 1960 et 1975. Elles sont retirées lors des rénovations du Musée national d'histoire naturelle de la Smithsonian en 2014 et conservées dans les archives du musée, trop fragiles pour les exposer à nouveau[4],[5]. Il est également connu pour ses peintures d'oiseaux[1].
Publication
(en) Visions of Lost Worlds: The Paleoart of Jay Matternes, Smithsonian Books, 2019, 236 p. (ISBN978-1588346674)
Coécrit avec Matthew T. Carrano et Kirk R. Johnson.
↑ a et b(en) The Leigh Yawkey Woodson Art Museum Presents the 1983 Birds in Art Exhibition, Leigh Yawkey Woodson Art Museum, , 152 p. (lire en ligne), p. 92
↑(en) Allen Debus et Diane E. Debus, Dinosaur Memories, iUniverse, (ISBN978-1-4697-2194-1), « Jay Matternes: Cenozoic Paleoartist », p. 518–522
↑(en) Melanie G. Wiber, Erect Men/Undulating Women: The Visual Imagery of Gender, "Race" and Progress in Reconstructive Illustrations of Human Evolution, Wilfrid Laurier University Press, , 300 p. (ISBN978-0-88920-557-4, lire en ligne), p. 72–
↑Peggy McGlone, « The beloved murals at Natural History Museum are coming back », The Washington Post, (lire en ligne, consulté le )