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De 1841 à 1843, Georgens participe au séminaire de formation des enseignants à Kaiserslautern[1].
Pendant cette formation, il a été influencé par les œuvres de Johann Heinrich Pestalozzi, Jean-Jacques Rousseau et Friedrich Fröbel, avec qui il était en correspondance. Néanmoins, la suite de son parcours éducatif est inconnue[2].
Il n'y a aucune preuve d'une formation universitaire, même s'il prétend être titulaire d'un doctorat dans les ouvrages qu'il publie[3].
Peu importe, il a été admis comme membre honoraire de l'Académie Léopoldine en 1857[4].
Ouvrages
(de) Dr. Georgens et H. Deinhardt, Die Heilpädagogik mit besonderer Berücksichtigung der Idiotie und der Idiotenanstalten, 2 vol. Leipzig, 1861 et 1863
(de) J. D. Georgens et J. M. v. Gayette-Georgens, Die Schulen der weiblichen Handarbeit, Vorbilder für den modernen Gebrauch, Leipzig, 1877
(de) Jan-Daniel Georgens, Georgens' Mutter- und Kindergarten-Buch, Leipzig, 1879
(de) « Nebenbei gesagt, würde es ein vergebliches Bemühen sein, in das Dunkel, das über verschiedenen Partien seines sehr bewegten Lebens liegt, Licht zu tragen. »