En 1987, elle est nommée membre du Comité international des villes et villages historiques auprès de l'Unesco et de l'ICOMOS[3]. La même année, elle coordonne le projet Ifriqiya auprès de l'ONG Musée sans frontières[3].
Elle organise à partir des années 1990 des conférences sur la médina de Tunis pour rapporter son importance architecturale et historique et participer à sa réhabilitation. Ses objets de recherche et ses missions sont couronnées par plusieurs publications[2].
Une fois à la retraite, elle lance l'idée d'une « visite découverte » de la médina de Tunis[1].
Jamila Binous, « Pain de femmes », dans Fatima Mernissi, Tunisiennes en devenir, t. 1 : Comment les femmes vivent, Tunis, Cérès, (ISBN9973-700-74-0), p. 25-63.
Essma Ben Hamida, Jamila Binous et Yara Abd'ul Hamid, La débrouille au féminin : stratégie de débrouillardise des femmes de quartiers défavorisés en Tunisie, Tunis, Enda inter-arabe, , 136 p. (ISBN978-9-973-17754-4).
Jamila Binous, Dar el Bacha : reflet d'un siècle, 1900-2000, Tunis, Caractère, , 247 p. (ISBN978-9-973-97731-1).
Jamila Binous et Salah Jabeur, Les maisons de la médina, Tunis, Dar Ashraf, , 239 p. (ISBN978-9-973-75513-1).
Jamila Binous, Azedine Beschaouch et Myriam Erraïs Borges, Confidences de Tunisie : vingt promenades culturelles et touristiques incontournables, Paris, Cherche midi, , 351 p. (ISBN978-2-749-11128-5).
↑ a et bCollectif, Ifriqiya : treize siècles d'art et d'architecture en Tunisie, Aix-en-Provence/Tunis, Édisud/Déméter, , 309 p. (ISBN978-2-744-90166-9, lire en ligne).
↑ abc et dJamila Binous et Jacques Pérez, La médina de Tunis et Alexandre Roubtzoff, Tunis, Dunes Éditions, , 228 p. (ISBN978-9-973-02013-0).