C'est finalement James II Stanley qui règle le problème foncier dans l'île de Man grâce aux travaux de Thomas Wilson l'évêque du diocèse de Sodor et Man, par son « Act of Settlement » de 1704 connu sous le nom de « Manx Magna Carta ». L'acte redonne la propriété des terres aux fermiers en contrepartie du versement d'une rente aux seigneurs. L'évêque Thomas Wilson à un caractère bien trempé et estime que l'église de Man doit retrouver ses anciens pouvoirs dont celui de procéder à des arrestations. Il en résulte un conflit en 1716 entre Wilson et le seigneur de Man qui cause des difficultés considérables et qui ne seront jamais véritablement réglées de manière satisfaisante.Bien que destiné à être salutaire pour les âmes de son troupeau, le pouvoir de Wilson sur l'île devient tyrannique[1].
Union et succession
James II Stanley épouse Mary Morley († 1752). il meurt à 68 ans sans laisser d'héritier direct. La succession de la seigneurie de Man se trouve séparée de celle du comté de Derby qui revient à un membre d'une lignée cadette de la famille Stanley Edward Stanley (11e comte de Derby); alors qu'elle échoit à James Murray 2educ d'Atholl un descendant de James Stanley le 7ecomte de Derby
Références
↑(en) Mike Ashley The Mammoth Book of British Kings & Queens (England, Scotland and Wales) Robinson London (1998) (ISBN1841190969) p. 586
(en) Kidd, Charles, Williamson, David (editors). Debrett's Peerage and Baronetage (1990 edition). New York: St Martin's Press, 1990.