James Hart est né le à Dublin en Irlande d'un père irlandais et d'une mère française. Il commence le rugby à l'âge de 6 ans dans le club du Clontarf FC[2]. À 16 ans, il joue une saison, en cadet, au Stade toulousain avec des joueurs tels que Sébastien Bézy ou encore Jean-Marc Doussain car sa mère est originaire de cette région, et ses grands-parents y habitent[3]. Il rentre ensuite en Irlande, où il poursuit sa formation avec le Leinster Rugby[3]. Mais il n'est pas choisi pour intégrer le centre de formation provinciale et part donc jouer la All Ireland League, un championnat amateur, avec son club formateur du Clontarf FC[2].
Passage à Grenoble (2011-2016)
Le club est alors entraîné par Bernard Jackman, qui rejoindra la saison suivante le FC Grenoble[2]. En , ce polyvalent demi et buteur rejoint alors le FC Grenoble[2]. Il dispute son premier match la saison suivante, lors de la rencontre de Challenge européen contre les London Welsh et marqua ses premiers points en passant une transformation[4].
Il devient ensuite un joueur important du dispositif grenoblois partir de la saison 2013-2014[3].
En 2017, il s'engage au Munster où il dispute deux saisons.
En 2019, il signe à Biarritz pour trois saisons[7]. Après avoir participé à la remontée du BO en Top 14, il s'engage en tant que joker médical à l'Union Bordeaux Bègles en novembre 2021[8] puis termine la saison avec le BO. Son contrat n'est pas reconduit à l'issue de la saison 2021-2022[9] et il s'engage au Stade montois[10], qu'il quitte en janvier 2023.
Bernard Jackman, son entraineur au Clontarf FC et au FC Grenoble, déclare en 2013 « James est un joueur très complet pour son poste. C'est un super buteur qui possède une qualité de passe rapide, précise, et une technique de plaquage aboutie » avant d'ajouter « Le plus impressionnant, c'est sa capacité de travail, proche de celle d'un Wilkinson. Il a un très gros potentiel »[3].
Notes et références
↑ ab et c« Hart James », sur www.itsrugby.fr (consulté le )
↑Pierre Larquier, « Biarritz olympique (Top 14) : Face à Clermont, des brouillons de jeu mais des adieux joyeux », Sud Ouest, (ISSN1760-6454, lire en ligne, consulté le )