De Eclipsi solari anno M. DC. LIV., die XII. augusti (1662)
Dans De Eclipsi solari, un écrit satirique mettant en scène l'éclipse du 12 août 1654(en), Jakob Balde fustige les peurs irrationnelles et les sottises qui accompagnent toute éclipse de soleil[2]. L'édition reproduite ci-dessus est celle de Munich, 1662[3].
On a un recueil de ses poésies, imprimé à Cologne, 1660, 4 t. en 2 vol. in-12, contenant, le 1er, ses odes en 4 livres, un livre d'épodes, et ses silves ; le 2e, ses poésies héroïques ; le 3e, ses satires ; le 4e, ses poésies diverses. La totalité de son œuvre a été imprimée à Munich en 1729 en 8 volumes[5]. En 1805 à Zurich, Johann Caspar von Orelli l'édite en un seul volume.
Gérard Freyburger et Eckard Lefèvre (dir.), Balde und die römische Satire = Balde et la satire romaine, Gunter Narr Verlag, 2005, 343 p. (actes du symposium qui s'est tenu à Fribourg et à Ensisheim en 2004, à l'occasion du 400e anniversaire de la naissance de Jakob Balde).
Jean-Marie Valentin, Les Jésuites et le théâtre : Contribution à l'histoire culturelle du monde catholique dans le Saint-Empire romain germanique, Paris, Desjonquères, 2014.