Ce torero basque était surtout apprécié dans les arènes du nord de l’Espagne, dans lesquelles son courage, son sérieux et sa volonté arrivaient à compenser son manque d’art. Cela lui permit de mener une honnête carrière de matador de second plan, sauf en 1938 où les circonstances tragiques – la Guerre civile - lui permirent d’être, par défaut, premier à l’escalafón… avec le plus faible nombre de corridas combattues par un numéro un.
Carrière
Présentation à Madrid : aux côtés de Luis Mera, Curro Prieto et « Delmonte ». Novillos des ganaderías de Hidalgo et de Alves do Río.