Jacques Trémolet de Villers a assuré à compter des années 1980 la responsabilité de l'ICHTUS (Centre de formation à l'action civique et culturelle selon le droit naturel et chrétien), mouvement dont le but est de former des élites catholiques[3], héritier de la Cité catholique fondée par Jean Ousset au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
À la fin des années 1990, il assure la défense du milicien Paul Touvier, accusé de crimes contre l'humanité, dont il prononça ensuite l'oraison funèbre[5],[6].
2017 : prix Wartburg de littérature, attribué par les éditions de Mathusalem, pour son ouvrage Jeanne d’Arc : le procès de Rouen[12]
Références
↑Pierre-Marie Dioudonnat dans Le Simili-Nobiliaire français, Éditions Sedopols, 2002, page 513, donne l'information suivante : « Cette famille Trémolet est restée Trémolet tout court pour l'état-civil. C'est en effet sans succès que ses représentants demandèrent, le 29 avril 1960, l'autorisation d'adjoindre à leur patronyme le nom de de Villers. Les requérants étaient Henri Trémolet, né le 4 janvier 1912 à Paris, décédé à Mende (Lozère) le 12 mai 2001, député de la Lozère de 1956 à 1962, agissant aussi pour ses cinq enfants mineurs. »
↑Jean-Yves Camus et René Monzat, Les Droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, , 526 p. (ISBN2-7297-0416-7), p. 358.