Neveu de Jacques Le Paulmier de Grentemesnil, il suivit la profession des armes ; il se trouva, dit-on, à quarante-huit sièges ou batailles, dont il écrivit la relation. Il avait un talent remarquable pour l’impromptu et, avant son abjuration, qu’il fit entre les mains de Huet en 1685, il avait aidé Conrart à retoucher la version surannée des Psaumes de Marot et Théodore de Bèze...