Avec Hélène Laberge, il fonde, en 1984, la compagnie L’Agora, Recherches et Communications inc. Une dizaine d'années plus tard, en septembre 1993, ils lancent la revue L'Agora, publiée dix fois par an jusqu'en juin 1996[1].
En 1994, il publie La démocratie athénienne, miroir de la nôtre, un livre destiné au milieu scolaire.
En ce moment, il est surtout connu en tant qu’éditeur du Portail Homo Vivens, dont font partie : l’Encyclopédie de l’Agora, l’Encyclopédie sur la mort, l’Encyclopédie Homovivens, l’Encyclopédie de la francophonie, l’Encyclopédie sur l’inaptitude, L’alter dictionnaire médico-pharmaceutique, le dictionnaire du cinéma anglo-saxon, le site bilingue appartenance-belonging, le site Le citoyen québécois et le Sentier des fleurs sauvages.
Ouvrages
Le Cent-millième exemplaire; essai sur la magie du nombre (1975)
Jacques Dufresne est un détracteur de l'encyclopédie Wikipédia. Il affirme, en 2009, que cette dernière propose « une vision du monde non cohérente » qui mène à l'éclatement du savoir, ce qui serait, au niveau intellectuel, la pire des options[2].
Jacques Dufresne précise sa pensée en 2016 : « Les louables objectifs de neutralité et d’objectivité, l’élimination des jugements de valeur au profit des faits nus (ou prétendus tels) que vise ce haut lieu du Soft Power ont pour effets secondaires d’empêcher l’apparition de tout mouvement d’opposition à l’empire[3]. »