Cette quantité est invariante par homographies du plan, mais dépend de l'ordre des quatre nombres considérés.
Par exemple, le birapport de peut valoir, selon l'ordre considéré :
Si on cherche à symétriser cette expression, on obtient une quantité
qui reste un invariant des transformations projectives, mais ne dépend plus de l'ordre des nombres :
que l'on appelle le j-invariant. Cette invariance est un premier indice du lien entre le j-invariant et le groupe modulaire.
(it) Felix Klein, « Sull' equazioni dell' Icosaedro nella risoluzione delle equazioni del quinto grado [per funzioni ellittiche]. », Reale Istituto Lombardo, Rendiconto, Ser, vol. 10, no 2,
(de) Felix Klein, « Über die Transformation der elliptischen Funktionen und die Auflösung der Gleichungen fünften Grades », Math. Ann., vol. 14, 1878-1879, p. 111-172
(en) Andrew Ogg, « Modular Functions », dans The Santa Cruz Conference on Finite Groups 1979, Amer. Math. Soc., , p. 521-532