En 1976, Jérôme Proulx est élu dans Saint-Jean, cette fois sous la bannière du Parti québécois, et réélu en 1981. Il devient whip en chef de 1976 à 1979, adjoint parlementaire du ministre des Affaires culturelles de 1980 à 1984. Il siège comme indépendant à compter du [note 1] et réintègre les rangs du Parti québécois en . Il est ensuite défait dans Saint-Jean à l'élection générale de 1985.
Fonds d'archives
Fonds Jérôme Proulx, Assemblée nationale du Québec. Le fonds témoigne principalement de la carrière politique de Jérôme Proulx.
Publications
« Jérôme Proulx », sur Assemblée nationale du Québec (consulté le ),
↑« Aux élections fédérales de 1984, René Lévesque s’engage à soutenir les forces fédérales du Parti progressiste-conservateur de Brian Mulroney. L’entente entre les deux chefs politiques prévoit que le PQ renoncera à promouvoir la souveraineté aux prochaines élections si Ottawa adopte une politique d’ouverture envers le Québec pour rouvrir le dossier constitutionnel. » (…) Ce « beau risque », provoque la démission de plusieurs ministres du gouvernement québécois, le député Jérôme Proulx décide de siéger comme indépendant ; les dissensions au sein du gouvernement et du Parti québécois sont telles que, le 20 juin 1985, René Lévesque lui-même démissionne de son poste de premier ministre et de chef du Parti québécois ; Pierre Marc Johnson lui succède et déclenche des élections générales le 2 décembre 1985[5].