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Io vivat fait partie du répertoire néerlandais et belge de chansons estudiantines. L'Io vivat, partie intégrante de tout almanach ou recueil de chansons estudiantines, particulièrement au XIXe siècle, trouve son origine dans la ville universitaire deLeyde à l’époque de la République batave. Son style suit la tradition des chansons goliardesques, comme cet autre chant estudiantin célèbre le Gaudeamus igitur.
Dans les sociétés et associations estudiantines belges, les première et troisième strophes sont chantées au début d’un cantus ou d'une soirée en société. À Anvers, on chante les première, deuxième et dernière strophes. A l'UCL, dans bon nombre de cercles étudiants, le chant est chanté en entier au début du deuxième tempus durant les coronae.
Io vivat nostrorum sanitas est également le nom d’une association estudiantine à Leeuwarden, alors que I/O Vivat est celui du magazine scientifique populaire d'une société d'étude, l’I.C.T.S.V. Inter-Actief.
Io vivat est aussi le nom d'un ordre secret, calottin.
Io vivat ou les Étudiants de l'Université est un livre écrit et publié à compte d'auteur, à Bruxelles, par Jacques Koot en 1983. Cette œuvre évoque les pratiques étudiantes à travers les âges. L'ouvrage est épuisé.