Entre 1958 et 2014, la nouvelle a été éditée à dix-huit reprises dans des recueils de nouvelles de Robert Silverberg ou des anthologies de science-fiction[1].
Publications aux États-Unis
La nouvelle est parue en sous le titre There was an Old Woman dans le magazine Infinity Science Fiction.
Elle a ensuite été régulièrement rééditée dans divers recueils de Robert Silverberg et diverses anthologies.
La nouvelle est parue en Allemagne en 1975 sous le titre Mutter ist die Beste !.
Résumé
Donna Mitchell a eu 31 enfants. Femme décidée et indomptable, elle a fixé pour chacun de ses enfants le métier qu'il exercerait plus tard : l'un serait peintre, l'autre avocat, le suivant historien, etc. Le problème essentiel est qu'elle n'a jamais compris que ses enfants ne voulaient pas nécessairement suivre les chemins qu'elle avait tracés pour eux.
Ses enfants, à l'occasion d'une réunion familiale, se confient les uns les autres et découvrent qu'ils sont tous frustrés professionnellement et ne sont pas heureux dans leurs métiers respectifs. Tous ensemble, ils empoisonnent leur mère et l'enterrent au fond d'un bois. Se promettant de garder le secret, ils se partagent les biens de la vieille femme et se séparent avec la ferme intention de vivre chacun les vies qu'ils auront choisies.