Il est mentionné pour la première fois dans un acte de 1036, signé de l'évêque Mallen, un cousin, et aux côtés de ses parents et de son frère[2],[5].
Épiscopat
Humbert succède à Artaud, probablement vers 1058[2],[6],[7],[4]. Il était cependant absent du catalogue des Cartulaires de l'église-cathédrale de Grenoble, dits Cartulaires de saint Hugues[8], ainsi que celui d'Étienne Le Camus, publié par Ulysse Chevalier (1868)[9].
Il n'est plus sur le siège en 1070[4], voire probablement avant[7]. Pons est élu à sa suite[7].
↑ abc et dGeorges de Manteyer, Les origines du Dauphiné de Viennois : la première race des comtes d'Albon (843-1228), Gap, , 105 p. (lire en ligne), p. 37-38.
↑ a et bMedLands, p. Humbert, (en) Charles Cawley, « Guigues I », sur fmg.ac/MedLands.
↑ ab et cAurélien Le Coq, « La trajectoire des Guigues d’Albon : Réseaux et lieux de pouvoir, Xe – XIIe siècle », Florilegium, no 29, , p. 201-227 (lire en ligne).
↑MedLands, p. Humbert Albon Grenoble, (en) Charles Cawley, « Guigues I », sur fmg.ac/MedLands.
↑Jules Marion, « Cartulaires de l'église-cathédrale de Grenoble, dits Cartulaires de saint Hugues », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 32, no 1, , p. 61-62 (lire en ligne, consulté en ).
Ulysse Chevalier, Regeste dauphinois, ou Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés et manuscrits relatifs à l'histoire du Dauphiné, des origines chrétiennes à l'année 1349, Impr. valentinoise, (lire en ligne).
Noël Didier, « Étude sur le patrimoine de l'église cathédrale de Grenoble du Xe au milieu du XIIe siècle », Annales de l'Université de Grenoble, vol. 13, , p. 5-87 (lire en ligne).