Hourie Ipékian publie un recueil de poésies en français, Couleur de temps, en 1944[2],[3]. Selon Lucien-Paul Thomas, ce recueil est la suite des états d'âme de Hourie Ipékian, puissants, avec « une grande élévation de pensée et de sentiments »[3].
Elle publie un nouveau recueil Sonate en 1946, s'inspirant de la Sonate en si bémol mineur de Frédéric Chopin ; ce nouveau recueil est « bien accueilli par la critique »[2]. Elle adapte ensuite elle-même sa Sonate au théâtre, en une création scénique qui lui vaut d'être « auréolée de succès »[2].
Hourie Ipékian rédige la partie arménienne de l'Index bio-bibliographicus notorum hominum, donne des conférences et publie aussi des poèmes en arménien dans diverses revues[2]. Elle meurt à Paris en 1980[2].