Le livre donne en 215 pages un panorama couvrant les arts picturaux, la littérature et les associations religieuses et juridiques liées étroitement au thème.
Il désamorce d'entrée de jeu dans l'introduction toute possibilité de traiter le thème de manière équilibrée entre les genres, compte tenu du caractère spécifique à la condition féminine qui ne souffre pas d'équivalent masculin dans l'Occident actuel.
La thèse est donnée que l'adultère et sa perception par les autorités régaliennes est un moyen de coercition dans la plupart des époques que la civilisation occidentale, sous ses diverses formes, a traversées.
Il se conclut sur une relativisation de ce propos après avoir décrypté bien des images de la femme non conformistes présentées dans cet intéressant travail de recherche iconographique qui accompagne le texte et le renforce par des analyses.