Daur est l'un des premiers membres de l'Union des artistes de Karlsruhe. Avant tout, il est considéré comme le peintre de sa patrie, le sud de la Forêt-Noire, en particulier le Wiesental(de) (sa « vallée natale »). Des motifs de la région du Rhin supérieur, du Markgräflerland et du Bohrertal à Horben[1] trouve des représentations atmosphériques dans sa peinture. Les œuvres de Daur révèlent l'influence de la colonie de peintres de Grötzing(de) et de Hans Thoma. Ils montrent, comme ses portraits, des éléments stylistiques de l'Art Nouveau.
Appréciation
En son honneur, des chemins portent son nom à Duhnen près de Cuxhaven ainsi qu'à Binzen et Ötlingen. De plus, l'école primaire d'Ötlingen ainsi qu'une cabane et une fontaine sur le mont Tüllingen(de) portent son nom. En 2013, le Musée des Trois Pays et le Paul-Ibenthaler(de)-Haus Lörrach présentent une double exposition avec les titres "HERMANN DAUR - the Markgräfler Landscapes" au Dreiländermuseum et "ZEITWEIT Hermann Daur et Johannes Buchholz, Landschaftszeichnungen" au Paul-Ibenthaler-Haus Lörrach[2].
Bibliographie
Hermann Eris Busse(de): Hermann Daur. 2. wesentlich erweiterte Auflage. C. H. Müller, Karlsruhe 1927.
Gert Schlechtriem(de), Blick in ein niedersächsisches Bauernhaus: 200 Jahre altes Vorbild für Ansichtspostkarte in Frelsdorf wiederentdeckt, , PDF
Jutta Dresch: Daur, Albert Hermann. In: Allgemeines Künstlerlexikon. Die Bildenden Künstler aller Zeiten und Völker (AKL). Band 24, Saur, München u. a. 1999, (ISBN3-598-22764-7), S. 395.
Hans H. Hofstätter: Hermann Daur. Creavis Verlag, Basel 2000, (ISBN3-9520698-6-8).
Références
↑Postkartenserie Villensiedlung Küchlin’sches Gelände bzw. Naturpark Bohrertal in Horben von 1913