Hermann Courtens est l'élève de son père Franz Courtens et d'Isidore Verheyden, professeur au NHISKA (Institut Supérieur de l’Académie des Beaux-Arts d’Anvers, il expose un Nu au Salon des artistes français de 1929[1].
Son style artistique est fortement imprégné par l'Impressionnisme et ses couleurs chatoyantes. Les bouquets de fleurs et les natures mortes, les figures d'enfant et les danseuses constituaient ses sujets de prédilection[2].
Expositions
1914 : Cercle Artistique et Littéraire, Bruxelles (individuel);
1924: Société nationale des Aquarellistes et de pastellistes;
1926: Académie de Termonde;
1931: Musée Charlier (individuel);
1941 : La Petite Galerie, Bruxelles (individuel).
Musées
Bruges, Musée Groeninge, La Surprise;
Anvers, Musée Royal des Beaux-Arts, Portrait de Franz;
Bruxelles, Musée Charlier;
Courtrai, Musée Municipal;
Mulhouse, Musée des Beaux-Arts.
Œuvres connues
1925:
La fleur de reine;
Portrait de jeune femme.
1926:
L'oiseau fantastique;
L'oiseau au faisan;
La Vénitienne;
Les Oubliés.
1929: Solitude.
s.d.:
Attitude;
Coquetterie;
Nu;
Natures mortes;
Des Fleurs;
Coins d'atelier;
Jeunesse;
Nature morte aux fleurs, pommes, poires et raisins;
Nature morte aux fruits et aux fleurs;
Vieille flamande.
Bibliographie
C. Conrardy, Hermann Courtens, Bruxelles (La Petite Galerie), 1941.
Le dictionnaire des peintres belges du XIVe siècle à nos jours, Bruxelles, La Renaissance du Livre, 1994.
Allgemeines Künstlerlexikon, Partie 21, Munich-Leipzig, 1999.
Notes et références
↑René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 328
↑Georges Marlier, « Les expositions », Le Soir, , p. 3