Il est le fils du Grand Maréchal de la Couronne Jan Firlej et de Barbara Mniszech. Il est baptisécalviniste dans sa jeunesse. Après la mort de son père, sa mère et ses frères l'élèvent dans la religion catholique. Il est le demi-frère du trésorier Jan Firlej, de Mikołaj, de Piotr et de Andrzej.
Il étudie d'abord chez les Jésuites à Ingolstad et à Graz, puis à Padoue et à Rome[1]. Dans cette ville, il entre dans la famille du pape Clément VIII, devient son valet, prélat de maison, référendaire pour les deux signatures, protonotaire apostolique et comte de Rome. À Rome en 1595, il est ordonné sous-diacre et en 1598 il est ordonné presbytre[2]. Le , il signe l'accord de Janowiec[3].
Il doit sa carrière à son milieu et au patronage du roi et du pape, mais il faut aussi noter son éducation, son caractère doux et le faste dont il s'entoure.
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Classement par ordre chronologique :
[Rembowski 1893] (pl) Alexander Rembowski, Rokosz Zebrzydowskiego : materyały historyczne poprzedzone przedmową i rozprawą pod tytułem Konfederacya i rokosz w dawnem prawie państwowem polskiem, Varsovie, , 314 p. (présentation en ligne), p. 213.
(pl) Karol Estreicher, « (Firlej Henryk) », dans Bibliografia polska, vol. 16, (OCLC3963468, lire en ligne), p. 227
[Wiśniewski 1928] (pl) Jan Wiśniewski, « Firlej Henryk », dans Katalog prałatów i kanoników sandomierskich od 1186-1926 r. tudzież sesje kapituły sandomierskiej od 1581 do 1866 r., Radom, (lire en ligne), p. 61.
[Nowowiejski 1931] (pl) Antoni Julian Nowowiejski, Płock : monografia historyczna / napisana podczas wojny wszechświatowej i wydrukowana w roku 1930, , 714 p. (présentation en ligne), p. 354.
[Dzięgielewski 1994] (pl) Jan Dzięgielewski, « Firlej Henryk », dans Encyklopedia historii Polski, vol. 1, Morex, , 451 p. (ISBN9788390252216, lire en ligne), p. 176.
[Jujeczka 2018] (pl) Stanisław Jujeczka, « Henricus Firlei », dans Klerycy z ziem polskich, litewskich i pruskich święceni w Rzymie (XVI – pocz. XX w.), Wrocław, (lire en ligne), p. 51.