Il n'a jamais pu se rétablir des blessures reçues en 1917[2], lors de la Première Guerre mondiale. Son œuvre transmet les doutes et l'espérance d’une personne confrontée à la souffrance et à la mort, avec foi et stoïcisme, affrontant Dieu, dressé contre et avec lui, comme l’indique le titre de son ouvrage Face à face. D'esprit classique et romantique, adepte de l’alexandrin, Henry Dérieux reste un des critiques littéraires et poètes les plus marquants de la première moitié du XXe siècle.
Il entretient une correspondance avec Paul Claudel, avec qui il entretient une admiration réciproque[3].
Son fils, Roger Dérieux devient peintre et conserve un amour pour l’univers du livre et produit une quarantaine de livres d’artistes.
↑« CLAUDEL et Henry DÉRIEUX: Une correspondance », Bulletin de la Société Paul Claudel, no 23, , p. 10–18 (ISSN0037-9506, lire en ligne, consulté le )