Henri Raybaud va à Paris pour suivre les cours à l'École des beaux-arts où il est l'élève de Jean-Antoine Injalbert. Il obtient une mention honorable au Salon de 1904 pour un haut-relief Le Berger et la mer. En 1908, il réalise un haut-relief en plâtre représentant Les Nymphes écoutant les chants d'Orphée[2] et L'Orage ; ce dernier est conservé au musée des beaux arts de Marseille.
Alata, centre ville : Monument aux morts, 1910, statue en bronze représentant le sergent Paul-Jérôme Casalonga (1877-1904) mort à Madagascar[3].
Allauch, place de l’Hôtel-de-Ville : Monument à Frédéric Chevillon maire d'Allauch et député mort pour la France, 1915, buste en bronze, envoyé à la fonte sous le régime de Vichy, un nouveau buste est exécuté en 1976 par Maurice Lombard[4].
place de la Corderie-Henri-Bergasse : Monument à Frédéric Chevillon, 1922, groupe en pierre. Le monument représente la France en bonnet phrygien présentant un sabre au jeune député pour qu'il aille la défendre[10].
Tribunal de commerce de Marseille : Thémis, 1933, statue en pierre représentant la déesse tenant de la main gauche le code de la Loi et s'appuyant de la droite sur un glaive.
Trets, place de la mairie : Monument aux morts, allégorie de la victoire[11].