Contrairement à son père qui s'était concentré sur l'ethnologie, Lévy-Bruhl fils a surtout étudié le droit romain. Pourtant, il a été chargé de donner des cours sur les « coutumes africaines ». Sa conception des systèmes juridiques des peuples victimes du colonialisme était caractérisée par le primitivisme juridique[1].
Ouvrages
Un projet de code de commerce à la veille de la Révolution : le projet Miromesnil (1778-1789), 1932
Histoire de la lettre de change en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, 1933
Quelques problèmes du très ancien droit romain (essai de solutions sociologiques), 1934
Histoire juridique des sociétés de commerce en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, 1938
Nouvelles études sur le très ancien droit romain, 1947
Aspects sociologiques du droit, 1955
Recherches sur les actions de la loi, 1960
Sociologie du droit, 1961
La Preuve judiciaire, Étude de sociologie juridique, 1964
Annexes
Bibliographie
Emmanuelle Chevreau, Frédéric Audren et Raymond Verdier, Henri Lévy-Bruhl : Juriste sociologue, Paris, Éditions Mare & Martin, coll. « Grands personnages », , 349 p. (ISBN9782849343470).
Références
↑Frédéric Keck, « Mentalité primitive et ethnologie du droit. De Lucien à Henri Lévy-Bruhl », Droit et philosophie : annuaire de l'Institut Michel Villey, (lire en ligne, consulté le )