Henri Hubert est élève au lycée Louis-le-Grand où l'abbé Quentin, aumônier du lycée, sut éveiller son intérêt pour l'étude des religions en général et la religion assyrienne en particulier. Ayant intégré l'École normale supérieure il réussit l'agrégation d'histoire en 1895. Sa thèse de doctorat traite des religions pré-chrétiennes en Asie Mineure.
En 1906, Henri Hubert est nommé professeur à l'École du Louvre[4]. Ses cours abordaient la préhistoire ethnographique de l'Europe. Tout au long des deux premières décennies du vingtième siècle il a continué à publier sur l'Asie et sur les Celtes.
Publications
Esquisse d'une théorie générale de la magie, avec Marcel Mauss, Paris, L'Année sociologique, 1902-1903
↑Archives de l'état civil de Paris en ligne, acte de naissance no 6/1413/1872 ; prénoms : Henri Pierre Eugène
↑Christine Lorre, "Henri Hubert et les perspectives sociologiques mises en œuvre au musée des Antiquités nationales", in Christine Laurière (dir.), 1913, la recomposition de la science de l'Homme, Lahic / DPRPS-Direction des patrimoines, coll. "Les Carnets de Bérose", 7 (2015). [En ligne]. Disponible sur : http://www.berose.fr/?1913-la-recomposition-de-la-675.