Il est condamné pour l'édition et la vente des Airs de musique dont Christophe Ballard détenait le privilège (arrêt du Conseil, ).
Le , la veuve Foucault, alors remariée, vend le magasin et le fonds à François Boivin et l'oncle de celui-ci, Michel Pignolet de Montéclair pour leur maison d'éditions musicales fondée la même année.
L'un de ses graveurs habituel est Henri de Baussen, qui a réalisé notamment la seconde édition des opéras de Lully vers 1708, des pièces de clavecin de Siret et le troisième livre d'orgue de Nicolas Lebègue.
Bibliographie
Raphaëlle Legrand, « Foucault et la diffusion des œuvres de Lully : l’exemple des parties de basse continue du fonds du Conservatoire de Marseille ». Dans Quellenstudien zu Jean-Baptiste Lully = L’œuvre de Lully : études des sources. Hommage à Lionel Sawkins. éd. Jérôme de La Gorce et Herbert Schneider. Hildesheim : Olms, 1999, p. 352–381[1].
(en) Carl B. Schmidt, « Two new Foucault sources of Lully ballets in the United States », Dans Quellenstudien zu Jean-Baptiste Lully = L’œuvre de Lully : études des sources. Hommage à Lionel Sawkins. éd. Jérôme de La Gorce et Herbert Schneider. Hildesheim : Olms, 1999, p. 278–312[2].