Il se fait construire un hôtel particulier aux nos 12-14 du rond-point des Champs-Élysées. Il « avait installé dans ce palais tous les signes de sa fortune et l'infortune de sa singulière laideur […] Entre autres disgrâces, une difformité, qui l'avait fixé pour toujours dans l'attitude du chasseur prêt à tirer, lui avait fait donner, dans la société où il avait tenu à s'imposer, le sobriquet de Couche-en-joue. […] Il paraît qu'il avait jeté son dévolu sur une demoiselle Minnie David. Mais celle-ci préféra devenir MmePaul Bourget. […] Finalement, Couche-en-joue fut agréé par Mlle de Moracin, fille du baron de Moracin, et cette alliance avec une catholique n'alla pas sans soulever maints commentaires […][1] ». Ce dernier point [2] ne concerne pas Henri Bamberger, mais son fils Auguste. Il souhaita faire don de l'hôtel Bamberger au Jockey Club de Paris lorsque celui-ci chercha un nouveau siège en posant pour seule condition d'y être admis, mais le cercle déclina hautement la proposition et s'installa rue Scribe.'
Il acquiert le château d'Hénonville en 1902. Contrat de location vente signé en 1893 avec le M. Roslin d'Ivry. Les deux noms (Bamberger-Roslin) sont associés sur les actes notariés. Henri Bamberger en obtient la jouissance totale en 1901, à la suite de l'acte de vente du .