Heinrich von Einsiedel est officier aviateur lorsqu'il est fait prisonnier par les russes durant le siège de Stalingrad[1]. Avec d'autres officiers faits prisonniers à Stalingrad, il forme le Comité national de l'Allemagne libre qui fait de la propagande contre l'hitlérisme[2]. Il rentre en Allemagne en 1947. Sa confiance dans le communisme s'émousse et il quitte la zone allemande russe pour l'Allemagne occidentale. Il écrit alors le journal d'une tentation.
Publications
Journal d'une Tentation, traduit de l'allemand par Denise Nast, Paris, 1952, Julliard, 324 p.
[en] Stalingrad: Memories and Reassessments, [co-auteur Joachim Wieder] Cassell, 2002, 320 p.
↑Joseph Dresch, « Comte Heinrich von Einsiedel. Journal d'une Tentation », Société des professeurs de langues vivantes de l'enseignement public, , p. 75 (̪lire en ligne sur Gallica)
↑Gilbert Badia, Ces Allemands qui ont affronté Hitler, Editions de l'Atelier, , 254 p., p. 167