Il est ensuite employé par deux banques puis devient gestionnaire d'une société d'ingénierie électrique présente en Suisse et en Afrique du Sud.
Parcours politique
Communal et cantonal
De 2000 à 2010, il est membre du conseil communal de Hergiswil, qu'il préside de 2006 à 2010[2]. En , il entre au gouvernement du canton de Nidwald et prend la direction des travaux publics[2] et sert comme adjoint du directeur financier. En 2014-2015, il assure la charge de suppléant du Landaman (Landesstatthalter) puis celle de Landaman en 2015-2016.
Conseiller aux États
Le , il est élu pour représenter son canton au Conseil des États. Le , à la suite du retrait de Johann Schneider-Ammann, il annonce sa candidature pour lui succéder au Conseil fédéral[3], mais échoue dès le premier tour de l'élection remportée par sa colistière[4]. Il est réélu tacitement en 2019 et largement réélu au premier tour en 2023[5]
Parmi ses liens d'intérêts, Hans Wicki est actif au sein de quatorze entreprises et organisations[6], en particulier dans l'automobile et l'industrie[7]. Il est notamment président du comité de Construction suisse et président du conseil d'administration de la société des remontées mécaniques Engelberg-Trübsee-Titlis[6]. Ce dernier mandat lui rapporte 116 000 francs suisses par an[7].
Notes et références
(de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Hans Wicki » (voir la liste des auteurs).