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À partir de 1963, Bamler a travaillé dans l'Hauptverwaltung Aufklärung de la Stasi. De 1964 à 1966, il a été "Rézidiente" à Paris[2]. En 1966, Bamler est arrêté par la police française et condamné à 18 ans de prison pour espionnage pour le compte d'une puissance étrangère. Sa femme, Marianne Bamler qui travaillait également pour la RDA dans les services de renseignement, a été arrêtée avec lui et condamnée à 12 ans d'emprisonnement[2]. En septembre 1974, à l'occasion d'un échange d'agents, Bamler a été libéré et autorisé à émigrer en RDA[3]. De 1974 à 1979, il a repris son activité à la Stasi à Berlin et a pris sa retraite avec le grade de major[4]. Hans-Joachim Bamler est décédé le 24 avril 2015 à Neuruppin dans le Brandebourg[5].
Souvenirs
(de) Hans-Joachim Bamler: Top-Spione. Die erste NATO-Residentur. In: Klaus Eichner, Gotthold Schramm (Hrsg.): Kundschafter im Westen. Spitzenquellen der DDR-Aufklärung erinnern sich. Texte v. 'Alfred', Marianne u. Hans-Joachim Bamler u. a. Edition Ost, Berlin 2003 (ISBN978-3-360-01049-0).
Bibliographie
(de) Wolfgang Hartmann: Hans-Joachim Bamler. In: Wer war wer in der DDR? 5ème édition. Volume 1. Ch. Links, Berlin 2010 (ISBN978-3-86153-561-4).
(de) Peter Böhm : Spion bei der NATO. Hans-Joachim Bamler, der erste Resident der HVA in Paris.. Édition Ost, Berlin 2014 (ISBN978-3-360-01856-4).
Notes et références
↑(de) Eigenangabe Rudolf Bamler im Fragebogen der Hauptverwaltung für Ausbildung vom 28. September 1950 page 3.