Hamida Na'na, née en ), est une écrivaine[1],[2] et journaliste féministe syrienne[3], connue pour son engagement envers la cause palestinienne.
Biographie
Elle est l'auteure de Anashid imra'a la ta'rif al-farah (« Hymne d'une femme sans joie »), un recueil de poésie publié en 1970, du roman al-Watan fi-l-'Aynan (« La Patrie »)[4] publié en 1979 et du roman Man Yajru .ala al-Shawq (« Qui ose espérer ») en 1989[5],[6].
Elle publie également une série d'entretiens entre 1988 et 1997[7].
Son œuvre rend compte de la situation des femmes en temps de guerre. Elle s'engage pour la cause palestinieme[8],[9].
↑(en) Hanadi Al-Samman, Anxiety of Erasure : Trauma, Authorship, and the Diaspora in Arab Women's Writings, Syracuse University Press, , 294 p. (ISBN978-0-8156-5329-5, lire en ligne)
↑(en) Nawar Al-Hassan Golley, Arab Women's Lives Retold : Exploring Identity Through Writing, Syracuse (N.Y.), Syracuse University Press, (ISBN978-0-8156-3122-4, lire en ligne)
↑(en) Miriam Cooke, War's Other Voices : Women Writers on the Lebanese Civil War, Syracuse University Press, , 208 p. (ISBN978-0-8156-0377-1, lire en ligne)
↑(en) Sebastian Günther et Stephan Milich, Representations and Visions of Homeland in Modern Arabic Literature, Georg Olms Verlag, , 286 p. (ISBN978-3-487-42182-7, lire en ligne)
↑(en) Radwa Ashour, Ferial Ghazoul et Hasna Reda-Mekdashi, Arab Women Writers : A Critical Reference Guide, 1873-1999, American University in Cairo Press, , 540 p. (ISBN978-1-61797-554-7, lire en ligne).
↑(en) Suad Joseph, Intersections : Gender, Nation, and Community in Arab Women's Novels, Syracuse University Press, , 312 p. (ISBN978-0-8156-2951-1, lire en ligne).
↑(en) South Atlantic Review, South Atlantic Modern Language Association, (lire en ligne).