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En 1898, il participe à l'exposition inaugurale de la Sécession viennoise à Paris[3], au salon de la Société nationale des beaux arts.
De 1904 à 1908, il fait partie du groupe d'artistes autrichiens de la Hagenbund[3]. Comme Alexandre Charpentier et Jean Dampt en France, Gustav Gurschner s'inscrit dans un contexte général de renouveau des arts décoratifs. Il s'attache à créer des objets d'usage courant[4] : cendriers, poignée de porte, encriers ou lampes électriques[2], en utilisant fréquemment des ressources expressives du corps féminin.
Son graphisme très élégant porte la marque d'une double appartenance culturelle : les lignes sinueuses de l'art nouveau français sont tempérées par la rigueur et le goût de la symétrie plus germanique.