Juriste et avocat de formation, Guillaume Devin est titulaire d'un DEA de droit du travail, d'un DEA de droit pénal et de sciences criminelles et d'un DEA de science politique de l'Université Paris X - Nanterre[1]. Il obtient, en 1988, un doctorat d'État en science politique portant sur "L'Internationale socialiste (1945-1976) : politique et éthique du socialisme international"[2].
Reçu premier à l'agrégation de science politique en 1991, il devient professeur des universités à l'Université Rennes 1, puis à l'université Paris X - Nanterre, avant d'intégrer, en 2000, l'Institut d'études politiques de Paris où il enseigne la sociologie et la science politique des relations internationales.
Méthodes de recherche en relations internationales (dir.), Paris, Presses de Sciences Po, 2016, 270 p. (version remaniée, traduction anglaise : Resources and Applied Methods in International Relations, Palgrave, Macmillan, 2018).
« Les métamorphoses de l’intérêt national » (avec Frédéric Ramel), in : Delphine Allès et al., Un monde fragmenté. Autour de la sociologie des relations internationales de Bertrand Badie, Paris, CNRS-Editions, 2018.
« Elias (Norbert) » in : Benoît Durieux, Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, Frédéric Ramel, dir., Dictionnaire de la guerre et de la paix, Paris, PUF, 2017, p. 457-463.
« Paroles de diplomates. Comment les négociations multilatérales changent la diplomatie » in : Franck Petiteville et Delphine Placidi-Frot, dir., Négociations internationales, Paris, Presses de Sciences Po, 2013, p. 77-103.
« Les évolutions de l'ONU : concurrences et intégration » (avec Delphine Placidi-Frot), Critique internationale, 2011, Vol. 4, No. 53, p. 21-41.
« Que reste-t-il du fonctionnalisme international ? Relire David Mitrany (1888-1975) », Critique internationale, Vol. 1, No. 38, 2008, p.137-152.
« Norbert Elias et l'analyse des relations internationales », Revue française de science politique, Vol. 45, No. 2, p. 305-327.