Gu est l'auteur de plusieurs études importantes sur le folklore chinois. Il fait d'abord partie du Centre de recherche sur les chansons populaires de l'université de Pékin, créé en 1918, où il édite un recueil de chansons populaires de la région de Wu, dans la basse vallée du Yangtse. Il est après 1926 membre du Centre de recherche sur le folklore de l'université Sun-Yat-sen de Canton, où il est l'auteur d'une étude sur la légende de Meng Jiangnü. Après 1933, il étudie la culture populaire de l'Antiquité à Nankin[1].
Notes et références
↑Jacques Pimpaneau, Chine. Histoire de la littérature, Philippe Picquier, 1989, rééd. 2004, p. 287-288.
(en) Ursula Richter, « Obituaries. Gu Jiegang (1893–1980) », The Journal of Asian Studies, vol. 41, no 2, 1982, Cambridge, p. 441-442.
Ursula Richter, « La tradition de l'antitraditionalisme dans l'historiographie chinoise », Extrême-Orient, Extrême-Occident, 1987, no 9, p. 55-89 ([lire en ligne]).
(en) Ursula Richter, « Historical Scepticism in the New Culture Era: Gu Jiegang and “the Debate on Ancient History” », 近代史研究所集刊 (Bulletin of the Institute of Modern History), no 23, 1994 ([lire en ligne][PDF]).
(en) Laurence A. Schneider, Ku Chieh-kang and China's New History: Nationalism and the Quest for Alternative Traditions, University of California Press, 1971.