En 1960, le groupe rachète la société Schweizerische Waggonfabrik Schlieren (SWS), fondée en 1889 par Johann Caspar Geissberger. L'usine est fermée en 1985 après avoir produit 12 577 voitures de voyageurs et wagons de marchandises[4].
Le , la Commission européenne condamne les quatre principaux fabricants mondiaux d'ascenseurs (Schindler, Kone, Otis et ThyssenKrupp) pour avoir pris part à une entente illicite sur le marché des ascenseurs et des escaliers mécaniques en Belgique, en Allemagne, au Luxembourg et aux Pays-Bas, qui viole les règles de la concurrence inscrites dans les traités européens. La firme Schindler est condamnée à verser une amende de 144 millions d'euros au budget européen[5].
En Suisse
L'entreprise a son siège à Ebikon depuis 1957. Elle compte plus de 2 500 employés ainsi que 300 apprentis répartis sur toute la Suisse[6].
En France
Le groupe s'implante en France en 1935 par l'achat de deux fabricants d'ascenseurs à Mulhouse et Lyon. En 1969 il opère le rapprochement avec la société Roux-Combaluzier pour former Roux-Combaluzier-Schindler (RCS) qui deviendra rapidement la société Schindler France, aujourd'hui composée d'environ 3 000 personnes dont 1 400 techniciens[7].
En Afrique
Présent dans toute l'Afrique, le Groupe Schindler est tout particulièrement représenté par les sociétés SIDAAL (en Côte d'Ivoire), Afrique Ascenseur Sénégal, Afrique Ascenseur Mali, SARL ASOR & SARL SOMI en Algérie et la Stas en Tunisie[réf. nécessaire].