L'abri se trouve à 200 mètres en aval du pont du Gard, en rive droite, sur la commune de Remoulins à quelque 50 mètres à l'est de la limite de commune avec Vers-Pont-du-Gard[1].
La grotte est classée au titre des Monuments historiques depuis le [3]. Elle n'est pas ouverte à la visite.
Notes et références
Notes
Références
↑« Grotte de la Salpêtrière, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
↑Evelyne Crégut-Bonnoure et Sylvain Gagnière, « Sur la présence de Saiga tatarica (Mammalia, Artiodactyla) dans le dépôt pléistocène supérieur de la grotte de La Salpêtrière à Remoulins (Gard, France) », Publications du musée des Confluences, no 19, , p. 37-41 (lire en ligne [persée], consulté le ).
G. Boccaccio, Les industries lithiques du Solutréen supérieur et du Salpêtrien ancien en Languedoc : ruptures et continuités des traditions techniques (thèse de doctorat), Université d'Aix-Marseille I, , 528 p. (lire en ligne [PDF]).
Max Escalon de Fonton, « Un nouveau faciès du Paléolithique supérieur dans la grotte de la Salpêtrière (Remoulins, Gard) », dans E. Ripoll Perelló, Miscelánea en homenaje al abate Henri Breuil (1877-1961) [« Mélanges en l'honneur de l'abbé Henri Breuil (1877-1961) »], t. 1, Diputación provincial de Barcelona, Instituto de Prehistoria Y Arqueología, , p. 405-421.
Maryline Rillardon, Environnement et subsistance des derniers chasseurs-cueilleurs dans la basse vallée du Rhône et ses marges du Pléniglaciaire supérieur (20 ka BP) à l’optimum climatique (8 ka BP) (thèse de doctorat), Université Aix-Marseille I-Université de Provence, U.F.R. Civilisation et Humanité, , 1129 p. (lire en ligne).
Max Escalon de Fonton, « Du Paléolithique supérieur au Mésolithique dans le Midi méditerranéen », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 63, no 1 « Etudes & Travaux », , p. 66-180 (lire en ligne, consulté le ).