Okiki travaille au conseil de la ville de Lagos de 1966 à 1969 et donne des conférences sur l'aide audiovisuelle à l'université de Lagos[1].
Il est membre de la Nigerian National Museum Society et est le cofondateur en 1963 de la Society of Nigerian Artists, pour laquelle il expose lors de l'exposition inaugurale en 1964[1],[2]. Il fait partie de l'« École de Zaria » ou The Zaria Art Society[3],[4].
Godfrey Okiki tient ses premières expositions entre 1960 en 1962, où il participe notamment à une exposition du Mbari Club, à Ibadan[1]. À l'étranger, il expose à New York pour la Phelps Stokes Fund(en) en 1965, à la Smithsonian Institution lors de l'exposition collective Smithsonian Institution Traveling Exhibition of African Prints (1966-1968)[1]. Surtout, il prend part à l'important FESTAC 77, qui se déroule à Lagos en 1977[1].
Œuvre
Les Archives nationales des États-Unis incluent Godfrey Okiki parmi les membres représentatifs de l'art contemporain africain, sur la base d'une série d'œuvres, « Artworks by African Artists », donnée par la Fondation Harmon en 1967. Cette collection inclut plusieurs œuvres d'Okiki[5] :
(en) Hampton University Museum Collection of Modern Nigerian Art : Museum Accession Records of Works of Modern Nigerian Art from the Harmon Foundation Donation Covering Acquisitions from 1962-1972, Hampton University Museum, .
Les artistes représentés sont : Jonan Chinyere Achara, Ben Enwonwu, Akinola Laeskan, Etso Clara Ugbodaga Ngu, Uche Okeke, Simon Okeke, Godfrey Okiki et Bruce Onobrakpeya.
(en) Janet L. Stanley, Nigerian Artists : A Who's who & Bibliography, Washington DC, National Museum of African Art Branch, Smithsonian Institution Libraries, , 600 p. (ISBN9780905450827), p. 581.
(en) S. A. Orimoloye, Biographia Nigeriana : A Biographical Dictionary of Eminent Nigerians, G. K. Hall, , 368 p., p. 271.