Girolamo Santocono, dit Toni Santocono, né en en Sicile , est un écrivain italo-belge.
Biographie
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Né en Sicile, Girolamo Santocono arrive en Belgique, dans la province du Hainaut en 1953. Il ainsi passe toute sa jeunesse à Morlanwelz[1],[2].
C'est cette jeunesse, les joies et problèmes rencontrés lors de celle-ci qu'il racontera dans son roman autobiographique Rue des Italiens et qui en fera un des représentants de la "rital-littérature"[3].
Dinddra, roman, Cuesmes , Belgique, Éditions du Cerisier, coll. « Faits et gestes », 1998, 230 p. (ISBN2-87267-031-9)
Ca va d'aller...Y a pas d'avance, nouvelles, Cuesmes , Belgique, Éditions du Cerisier, coll. « Griottes », 2018, 256 p. (ISBN978-2-87267-213-4)
Annexes
Bibliographie
Anne Morelli et coll., Rital-littérature, anthologie de la littérature des Italiens de Belgique, Cuesmes , Belgique, Éditions du Cerisier, 1996, 221 p. (ISBN9782872670215)
Chiara Piraccini, L’Espace fermé dans le roman rital, Université de Bologne (Thèse de Licence en Letterature francofone europee), 2009, 226 p. Lire en ligne
Laureanda Sara Palumbo, L’Histoire des mineurs italiens en Belgique (1945-1960) et la Littérature de la mine. Analyse et comparaison entre deux romans: Échine de verre de Raul Rossetti et Rue des Italiens de Girolamo Santocono, Université de Padoue (Thèse de maîtrise en langues modernes pour la communication et la coopération internationale), 2016, 150 p. Lire en ligne
↑« Coronavirus: à Morlanwelz, "pourquoi l'Italie?" », Le Vif, (lire en ligne).
↑Paque Jeannine, « Histoires de l'histoire : il était une fois en Ritalie... », Revue de littérature comparée, vol. 3, no 299, , p. 429-442 (ISSN0035-1466, DOI10.3917/rlc.299.0429, lire en ligne, consulté le )