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Giorgio Gaberščik, plus connu sous son nom de scèneGiorgio Gaber, né le à Milan et mort le à Camaiore, est un chanteur, compositeur, acteur et dramaturgeitalien. Il est aussi un guitariste accompli, ainsi que l'auteur de l'une des premières chansons rock en italien. Gaber est très attiré par la chanson française. Avec Sandro Luporini, il est le pionnier du genre musical connu sous l'appellation « teatro canzone » (théâtre - chanson).
Le nouvel auditorium souterrain de la tour Pirelli à Milan lui est dédié.
Adolescent, Gaber se passionne pour la musique. Il s'intéresse à des guitaristes de jazz américains Barney Kessel, Tal Farlow ou encore Billy Bauer mais aussi italiens. Il a pu écouter Franco Cerri à Milan.
Débuts
Sa carrière de guitariste commence dans le groupe Ghigo e gli arrabbiati (« Ghigo » et les Enragés), une formation de Milan, au festival jazz de 1954. Deux ans plus tard, il fait partie des Rock Boys, le groupe d'Adriano Celentano dans lequel Enzo Jannacci joue du piano. En 1957, le groupe apparaît à la télévision pour la première fois.
Toujours durant cette période, il rencontre Luigi Tenco, qui a quitté Gênes pour s'installer à Milan. Ensemble, ils forment son premier groupe dans lequel jouent aussi Jannacci, Paolo Tomelleri au saxophone et Gian Franco Reverberi à la guitare. Gaber et Tenco composent quelques chansons ensemble et deviennent de bons amis.
En 1958, il est remarqué par Nanni Ricordi, directeur artistique de la maison d'édition musicale homonyme, qui lui fait passer un essai. Gaber commence ainsi sa carrière de soliste, en enregistrant pour la toute nouvelle maison de disque Dischi Ricordi quatre chansons: deux reprises, Be-Bop-A-Lula et Love Me Forever, et deux chansons originales en italien dont «Ciao ti dirò[3]» (1958) (Je te dirai salut). Sur l'étiquette des singles, on peut lire : «Giorgio Gaber et son Rolling Crew». Pour la première fois, son pseudonyme apparaît .
Le succès
Après les premiers singles, Gaber atteint le succès en 1960 avec la chanson Non arrossire («Ne rougis pas»). La même année, il réalise la chanson la plus connue parmi celles de cette période, La ballata del Cerutti («La ballade du Cerutti») sur un texte de l'écrivain Umberto Simonetta. Pendant les années 1960, ce dernier écrit d'autres chansons à succès qui lui assurent beaucoup d'apparitions à la télévision. En tant que fan de spectacle, il se tourne également vers le théâtre et commence à composer des spectacles appelés "teatro canzone".
Gaber était attiré par la chanson française: il écoutait les chansonniers de la Rive gauche parisienne chez qui il retrouvait cette épaisseur culturelle et cette attention aux textes qui manquaient à la variété italienne. En particulier, l'artiste aurait déclaré : « Mon maître a été Jacques Brel[4]. »
Sorti de presse en , le livre «Gaber-Brel. « Dialogo» est une œuvre (bilingue) entièrement dédiée à ces deux grands artistes, deux grands protagonistes de la chanson et du théâtre européens, Giorgio Gaber et Jacques Brel. Le livre les rapproche pour la première fois dans une sélection de pièces choisies parmi leur répertoire musical et théâtral, et une vaste bibliographie (interviews, conversations, discours hors-scène) traçant ainsi un parcours expressif inédit.
Le succès le plus étonnant de Giorgio Gaber dans le monde de la chanson francophone est décrit par Vincent Tondo, artiste à la forme internationale BnF comme final de l'émission en hommage à Doctor Winston O'Boogie, enregistrée et diffusée en radio par Silver Music Radio le 9 octobre 2020[5], avec le témoignage de Dora Giannetti ldictant le poème Il tempo non volava (sur une mélodie inédite de Vincent Tondo interprète d'« Imagine » de Yoko Ono et John Lennon et dont le titre est We pray for health We pray for peace We wanna be free).
Le livre est édité par le Centre culturel italo-français - Claude Louis Piachaud[6] et fait notamment référence à « La souris a peur du chat » de Joël Favreau, à «Tu veux jouer / vuoi giocare con me?» un film diffusé du vivant de Vannick Le Poulain dans la salle Chaplin de l'Azzuro Scipioni de Rome, en hommage à Ennio Morricone en tant que père de Andrea Morricone compositeur de Tema d'amore. C'était à l'occasion des 80 ans de Richard Starkey, alias Billy Shears, alias Ringo Starr.
Le film a été proposé la première fois à Menton par la Bibliothèque de l'Odyssée, suivi d'un débat en présence de certains acteurs de la vie sociale jouant dans le film, notamment les étudiants de Sciences Po. Menton rendant ainsi hommage au chanteur de la chanson «À ma taille» créée avec Fabienne Colson à Nice au Théâtre de l'Eau Vive, à Antonio de Curtis alias Totò à travers la production du disque «Baciami infinity plus» créé en pensant à Divina Mina (livre) et surtout à l'interview de Giorgio Gaber figurant dans le livre Milano ride e canta, interview réalisée par Dora Giannetti baptisée Gianna par Paolo Limiti fille d'un des pianistes de Giorgio Gaber, le Docteur Ettore Giannetti.
Gianna et Vincent Tondo sont à l'origine du projet d'ouverture d'un cinéma dont le nom serait NUOVO CINEMA VITTORIA à Ramponio[7], en collaboration avec leurs enfants Margot et Antoine-Guillaume, auteur, compositeur interprète et photographe ayant à son actif le projet culturel "QuiTuSais.it - Experience Pop Up", un projet dédié au rôle de la femme dans la société et en particulier du rôle que joue Daniela Maggiulli (Premio America Sanremo 2006, Villa Nobel[8], pour son poème intitulé Sei il sogno della mia vita) dans le monde de l'éducation, l'argument contenu dans le texte de la chanson "Dreaming Man"[9].
↑Vincent Tondo et Madrigal France, Single (5 min 28 s) You and me (3 min 26 s) Dreaming man (5 min 03), Madrigal France [distrib. Madrigal France, (lire en ligne)