Après le , date de la capitulation sans condition de l'armée italienne, il entre dans le combat partisan antifasciste.
Ensuite, il travaille dans divers journaux, comme la Gazzetta del Popolo, L'Europeo et Il Giorno. Il écrit des reportages sur la réalité italienne. En 1975, il est un des fondateurs de La Repubblica. Dans les années 1980 et 90, il travaille aussi pour la télévision.
Il reçoit en le Premio giornalistico televisivo Ilaria Alpi pour l'ensemble de sa carrière. Écrivain, en 1992, il reçoit le prix Bagutta pour Il provinciale.
Les Jeunes Lions de l'économie européenne, [« I Giovani leoni del neocapitalismo »], trad. de Jacqueline Rémillet, Paris, Éditions Robert Laffont, 1964, 207 p. (BNF32926973)
Italie d'aujourd'hui, [« La Scoperta dell'Italia »], trad. de Jacqueline Rémillet, Paris, Éditions Robert Laffont, 1965, 391 p. (BNF32926975)
L'Enfer : enquête au pays de la Mafia, [« L'inferno : profondo sud, male oscuro »], trad. de Chantal Moiroud, Paris, Éditions Payot, coll. « Documents Payot », 1993, 338 p. (ISBN2-228-88631-9)