Dix-huit mois plus tard, en 1986, l'Américain Kenneth Ribet réussit à démontrer une grande partie de la conjecture epsilon de Jean-Pierre Serre, dont une des conséquences est que la courbe de Frey-Hellegouarch n'est pas paramétrable par des fonctions modulaires.
Il ne restait plus qu'à démontrer la conjecture de Shimura-Taniyama-Weil : « Toute courbe elliptique est paramétrable par des fonctions modulaires », ce que réussira en 1995 Andrew Wiles, aidé sur la fin de Nick Katz puis de Richard Taylor.