Malgré la résistance cruelle de son frère Christophe, la Réforme protestante avait fortement progressé fortement à Brême. Georges bien que lui-même officiellement catholique laisse son chancelier Heinrich Borcholt promouvoir les idées luthériennes dans l' archidiocèses de Brême et le diocèse de Verden. Par ailleurs il nomme en 1564 comme coadjuteur Eberhard von Holle son futur successeur comme administrateur à Verden (1566–1586). Ce dernier est refusé le chapitre de Brême. Dans la principauté épiscopale de Minden, il semble être demeuré neutre. Le Pape Pie V incite encore Georges lorsqu'il confirme en 1561 sa désignation aux trois sièges à agir dans l'intérêt de la foi catholique, mais Georges semble ignorer cette injonction et laisse agir les réformés. Sur son lit de mort, il reçoit la communion à la fois selon le rite catholique et réformé.