Au début des années 1900, il invente le phono-cinématographe[2], nommé « phono-cinéthéâtre » par son inventeur car il synchronise le cinématographe et le gramophone. Les deux instruments combinés reproduisent avec précision, l'un la voix, les bruits quels qu'ils soient ; l'autre les mouvements, les gestes. La précision est telle que les personnes reflétées sur l'écran parlent, chantent, pleurent avec une très grande intensité de vie et de vérité.
Bibliographie
Laurent Mannoni, Du cinématographe parisien au cinémato-gramo-théâtre : Georges Mendel, pionnier du cinéma « muet » et sonore, éditeur Institut Jean-Vigo, 1993 (ISBN9782906027510).