Il collabore à Rouge hebdomadaire (dès 1969) d'abord puis quotidien de 1976 à 1978 et signe ses articles avec son pseudonyme d'organisation Simon Baruch. Lassé des débats doctrinaux et désirant trouver une situation plus stable, il exprime auprès de Claude Angeli le souhait d'entrer au Canard enchaîné, où il faisait des piges depuis quelques années. Il y est embauché en 1978, puis de façon définitive en 1981[2].
En janvier 1985, il publie dans ce journal un article mettant en cause le commandant Prouteau, chef de la cellule antiterroriste de l'Élysée, nommé quelques jours après l'intervention de Vincennes. Il quitte le journal en 1985, évoquant « une rétention de l'information » expliquée par la proximité qui existait entre quelques membres de la rédaction du journal et l'entourage de François Mitterrand.
↑Jean-Paul Salles, La Ligue communiste révolutionnaire (1968-1981). Instrument du Grand Soir ou lieu d'apprentissage ?, éditions Presses universitaires de Rennes, Rennes, 2005, page 402.
↑ a et b« "Profession, "fouille-merde"", de Georges Marion : les coulisses du journalisme d'investigation », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )