Premier adjoint du maire Édouard Herriot en 1939, il est pris en otage par les Allemands lors de la première occupation de Lyon en [3]. Par décret du du Régime de Vichy, il est nommé président de la délégation spéciale qui remplace la municipalité élue[4]. Jugé trop démocrate, il est renvoyé le et remplacé par Georges Villiers qui est nommé maire[5].