Il est notamment connu pour sa théorie institutionnelle de l'art. Il défend la thèse selon laquelle « les œuvres d’art sont de l’art en conséquence de la place qu’elles occupent au sein d’une pratique établie, à savoir le monde de l’art. »[1]
Biographie
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La théorie institutionnelle de l'art
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La théorie institutionnelle de l'art, développée par George Dickie, affirme que c'est le monde de l'art (artworld) qui confère le statut d’œuvre d'art à un objet.
« Le mythe de l'attitude esthétique », traduit de l'anglais au français par Danielle Lories, Philosophie analytique et esthétique, dir. Danielle Lories, Klincksieck, 1988, pp. 115-134
« Beardsley et le fantôme de l'expérience esthétique », traduit de l'anglais au français par Danielle Lories, Philosophie analytique et esthétique, dir. Danielle Lories, Klincksieck, 1988, pp. 135-142
« Définir l'art », traduit de l'anglais au français par Claude Hary-Schaeffer, Esthétique et Poétique, dir. Gérard Genette, Édition du Seuil, 1992, pp. 9-32
« La nouvelle théorie institutionnelle de l'art » (1983), traduit de l'anglais au français par Barbara Turquier et Pierre Saint-Germier, Tracés, Revue de sciences humaines, 17, 2009, p. 211-227.
Références
↑George Dickie, « La nouvelle théorie institutionnelle de l’art », Tracés, vol. 2, no 17, , p. 211-227 (lire en ligne)
Liens externes
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :