On connaît peu de choses de sa biographie hormis celles citées par Auguste Bleton dans sa nécrologie parue dans la Revue du siècle littéraire et artistique de 1893[3].
De sa vie familiale, on retient qu'il est fils d'artisan et qu'il est resté célibataire.
De sa vie d'artiste, on apprend qu'il est peintre religieux mais que son caractère désintéressé financièrement ne l'encourage pas à terminer toutes les commandes.
Il dessine des cartons destinés aux fabricants de vitraux et de mosaïques qui ornent de nombreux édifices religieux lyonnais comme la chapelle Saint Loup de l'Île Barbe, la crypte de Saint Nizier, le caveau de Saint Pothin, l'Antiquaille ou la basilique de Fourvière. Il compose des sujets de médaillon entrant dans la composition des pièces d'orfèvrerie de la maison Armand Caillat.