Le public a commencé à découvrir Garnotte dans des magazines comme Croc[1] — il se joint à l'équipe dès le premier numéro. en — et Titanic dans les années 1980. Il s'y fait connaître d'un grand public comme un dessinateur engagé avec sa série « Pauvres riches ! », où il pourfend à la fois les gauchistes de salon et le capitalisme sauvage[2]. Ses dessins ont aussi été publiés chez TV Hebdo, Protégez-vous, le magazine Les Débrouillards et La Terre de chez nous.
Depuis 1996, il contribue quotidiennement à la page éditoriale du quotidien montréalais Le Devoir où il signe la caricature.
Lors du drame de l'incendie de Notre-Dame de Paris, il se fait remarquer en proposant une caricature pour répondre au concours de la reconstruction de la flèche lancé par le Premier Ministre français Edouard Philippe[3]. Il représente aussi, à la suite des dons massifs pour la reconstruction, Émmanuel Macron en stryge crachant des billets de banque[4].
Il annonce sa retraite comme caricaturiste éditorial en [5],[6].
Publications
1981 : N'ajustez pas votre appareil, Éditions Ludcom, Montréal ;
1989 : C'est pas parce qu'on travaille que c'est drôle !, Nouvelles CSN, Montréal ;
1990 : Pauvres riches et autres contradictions, Éditions Kami Case (ISBN2-98011-055-8), Montréal ;