Gaieté
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Couramment, le terme gaieté, gaîté ou gaité (cette dernière forme est propre aux rectifications de 1990) désigne le fait d'être joyeux, gai.
À Paris
À Rennes
Aux îles Marquises
À Bruxelles
À Budapest
À Manchester
Quelques titres d’œuvres
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Plaque de rue de la rue de la Gaîté, photographiée en 2015.
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Bouche de la station de métro Gaîté, photographiée en 2013.
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Façade du théâtre de la Gaîté-Montparnasse, photographiée en 2011.
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Façade de du théâtre de la Gaîté-Lyrique où est inscrit l’ancien nom de l’établissement : THÉATRE DE LA GAITÉ (les accents circonflexes manquent sur Î et sur Â).
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Théâtre de la Gaîté de Bruxelles : GAITE (les accents manquent sur le Î et sur le É).
La graphie académique du mot a varié[1] :
Ayant supprimé la graphie « gaîté » en 1935 (année de parution du dernier tome de la 8e édition), l’Académie a rétabli cette variante en 2005, mais de façon maladroite[6]. Jean-Pierre Colignon préconise (en 2006) la seule graphie « gaieté » mais demande de conserver la graphie « gaîté » non seulement pour la rue et les établissements de Paris (des toponymes) mais aussi dans le titre d’œuvre Les Gaîtés de l’escadron (œuvre de Courteline)[7].
Voir aussi
Références
- ↑ Dictionnaire historique de l'orthographe française, Nina Catach (dir.), coll. « Trésors du français », Paris, Larousse, 1994 (ISBN 2-03-340330-0), p. 506-507 sub verbo « gaieté ».
- ↑ « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
- ↑ « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
- ↑ « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
- ↑ « Gaîté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
- ↑ Dictionnaire de l’Académie française (9e édition), t. 2 (de Éocène à Mappemonde), Imprimerie nationale/Fayard, 2005 (ISBN 2-213-62143-8) : il existe un renvoi « gaîté » (p. 203) vers « gaieté », renvoi précédé du signe * (« le signe * indique les entrées nouvelles », comme dit en page V du début du tome) ; l’entrée « gaieté » (p. 202) mentionne in fine la variante gaîté ; le signe ♢ (qui « renvoie aux recommandations de 1990 », comme dit en p. V du début du tome) ne figure ni dans l’entrée « gaieté » ni dans l’entrée « gaîté » ; gaité n’apparaît pas dans la liste des recommandations de 1990 figurant in fine (pages vertes).
- ↑ Jean-Pierre Colignon, Difficultés du français, Librio, 2004, 94 p. (ISBN 2-290-34094-4) , sub verbo « gaieté » p. 40.
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