Le général Poudiougou est nommé président de la commission d'intégration[8], à la suite des accords d'Alger entre les rebelles touaregs et l'État malien[9].
Opinions
Le journal malien Le Pays écrit que le général Poudiougou aurait détourné, quand il était chef d'état-major, un million de francs CFA pour son budget de fonctionnement en plus des 15 millions de francs prévus[10]. Au contraire, l'Inter de Bamako rappelle qu'il n'hésitait jamais à se déplacer auprès des combattants dès que la situation le nécessitait[11].
Références
↑ abc et dCh. Tandina et C. H. Sylla, « Armée-Gendarmérie-Police : Le nouveau commandement », L'Aube, (lire en ligne)
↑Oumar Alpha, « Mali : Général de division Gabriel Poudiougou, président de la Commission Intégration : « L’intégration concerne tous les corps de la fonction publique de l’Etat et non pas seulement l’armée » », Info-Matin, (lire en ligne)
↑Mama Paga, « Affaire des bérets rouges disparus : Les dessous d’une mesure exceptionnelle accordée aux Généraux Yamoussa Camara et Ibrahim Dahirou Dembélé », Le Pays, (lire en ligne)
↑Y.S., « Réarmement moral de nos troupes : à quand le ministre de la Défense et le Chef d’état-major général des armées au front ? », L'Inter de Bamako, (lire en ligne)